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Titre : Journal

Auteur : Anne Frank

Nombre de pages : 285

Édition : Presses Pocket

Date de sortie édition : 1950

 

Synopsis

 

Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu'en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s'installent clandestinement dans " l'Annexe " de l'immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en février ou mars 1945, peu après sa sœur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l'un des plus émouvants sur la vie quotidienne d'une famille juive sous le joug nazi.

 

Avis

 

J'ai attaqué la lecture du journal d'Anne Frank grâce à une lecture commune réalisée avec LaCroque-Livres et Eole. J'ai dépassé la date limite de quelques jours, mais peu importe.

 

L'important est d'avoir (enfin) lu ce journal devenu culte de par sa valeur historique.

 

Anne a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944. Le 4 août, ces clandestins ont été découverts par les nazis. C'est donc sous une optique particulière qu'on aborde ce journal, en sachant comment ça s'est terminé.

 

Anne Frank est restée cloîtrée avec ses proches dans une "annexe", située à l'arrière du bâtiment qui servait de bureaux à l'entreprise de son père. Ci-dessous, vous trouverez un schema représentant les lieux. Au 2ème étage, l'annexe était accessible via la porte-armoire qui a servi de trompe-l'oeil aux différentes personnes qui ont pu passer près de là.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autant dire que je suis admiratif, car je ne sais pas si j'aurais réussi à garder la tête sur les épaules en étant enfermé aussi longtemps. 

 

C'est peut-être ignoble de ma part, mais avant de lire le Journal, je croyais qu'ils étaient restés enfermés dans une cave et non pas dans ce qui semblait être un petit appartement. Pareil pour la nourriture, je croyais qu'ils avaient été beaucoup plus privés que ça. Bon, il n'en reste pas moins qu'ils ont dû manger souvent les mêmes choses et qu'ils étaient quand même loin d'être libres de leurs mouvements. Ils faisaient attention aux heures pendant lesquelles des visiteurs pouvaient être dans le bâtiment et les découvrir. 

 

Par contre, Anne relate beaucoup de conversations, disputes et attitudes qui laissent croire que le reste du temps ils le passaient à s'engueuler. D'ailleurs, Anne se sentait incomprise et traitée comme une gamine et utilisait son journal pour dire tout ce qu'elle pensait de celles et ceux qui (sur)vivaient avec elle. 

 

En parallèle de certains passages où on sent bien qu'elle était confrontées aux affres de l'adolescence (côté rebelle, hautaine et incomprise), elle en a écrit d'autres où elle faisait preuve d'une grande pertinence qui m'a encore une fois rendu admiratif.

 

Je les admire d'avoir tenu aussi longtemps sans s'entretuer, mais j'admire encore plus les personnes qui les ont aidées à survivre en leur apportant les vivres et les nouvelles de l'extérieur (avec quelques "cadeaux" par-ci par-là).

 

Parmi d'autres œuvres, ce journal est un symbole de l'oppression subie par les juifs pendant cette horreur qu'a été la guerre 39-45. Néanmoins, je ne peux pas mentir en disant que j'ai trouvé le journal extrêmement touchant, car comme dit plus haut, une grande partie a été consacrée à relater les disputes. Après, c'est compréhensible, car le plus difficile quand on est enfermé, c'est de supporter les autres. Du coup, elle a beaucoup écrit là-dessus.

 

Pour conclure, je pense que chacun(e) devrait quand même le lire, ne serait-ce que pour rendre hommage à cette jeune demoiselle qui, malgré le contexte, est restée optimiste et a toujours gardé l'espoir que ça s'arrête un jour et qu'elle puisse vivre sa vie. 

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