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Titre : Les larmes du dragon

Auteur : Dean Koontz

Nombre de pages : 384

Édition : POCKET

Date de sortie édition : 1996

 

Synopsis

 

Pour Harry Lyon, policier de Los Angeles, et sa coéquipière Connie, le tueur auquel ils se trouvent confrontés au restaurant n'est qu'un avant-goût du cauchemar qui les attend. L'après-midi même, un improbable clochard, aux allures de possédé, annonce à Harry qu'il va mourir avant l'aube, puis se désintègre sous ses yeux. Tout cela ressemble trop à une hallucination ou à un mauvais rêve pour qu'il arrive vraiment à y croire. Et pourtant...

 

 

Avis

 

J'ai découvert Dean Koontz il y a quelques années, aux détours d'une brocante où j'ai acheté plusieurs de ses livres. Depuis, j'en lis un de temps en temps, car j'aime bien me faire un livre "Terreur" de temps en temps.

 

La couverture

 

 

Je n'ai pour l'instant aimé aucune couverture des livres Terreur proposés par Pocket. Ceux-ci sont toujours dans des tons "maurosés" (comprenez un mixte entre rose et mauve) dégueulasses qui me ragoûtent peu. Heureusement, je ne suis pas de ceux qui s'arrêtent à la couverture d'un livre.

 

 

Les personnages

 

Principalement deux flics, des sdf (un défoncé et une mère avec son petit garçon), une femme aveugle, un chien... et un "monstre".

 

Autant le dire tout de suite, on suit surtout les deux policiers, Harry et Connie, qui vont tout faire pour survivre au "monstre". D'un côté, Harry, maniaque et rigide sur le protocope, de l'autre, Connie, rebelle et borderline.

 

En parallèle de ça (avec forcément des rencontres entre lui et les "gentils"), nous avons un méchant homme, nous partageons ses pensées meurtrières et nous plongeons au cœur de sa folie. C'est clairement ce qui m'a le plus plu dans ce livre. C'est un peu le méchant par excellence, dans le sens où il a des supers pouvoirs. Pour le coup, ceux-ci sont forcément utilisés à mauvais escient.

 

Il attend de Devenir, tel un Dieu qu'il pense être. Il a le pouvoir d'agir sur la matière, de créer des golems à partir du sable, de projeter des choses, de ralentir le temps à tel point que ceux qui sont ciblés par lui ont l'impression que le temps s'est arrêté. Il est égocentrique à l'extrême. Le contrecoup de ces pouvoirs est qu'il utilise beaucoup d'énergie, qu'il perd plusieurs kilos à chaque fois, et il doit dévorer plein d'aliments pour refaire le plein et semer à nouveau la terreur chez ceux qu'il a ciblé. Son objectif est de faire une purge en ne gardant que les humains qu'il voudra, en étant évidemment leur Dieu. Il veut être un Dieu plus "responsable" que le(s) précédent(s), en n'étant pas aussi "gentil" que lui. Bref, on a là le point de vue que je me fais d'Hitler à la triste époque dont nous avons tous entendu parler. Heureusement, ce dernier n'avait pas ces pouvoirs-là, sinon le monde serait... ou ne serait plus.

 

J'ai néanmoins été surpris de ressentir de la pitié pour ce jeune homme (on sait très vite qui il est, donc je ne spoile pas) qui est finalement une victime (comprendront ceux qui l'ont lu ou le liront).

 

Nous suivons aussi un chien, nous avons aussi le droit d'être dans sa petite tête. Il n'est pas rare d'entendre dire que les animaux ont un sixième sens. Ici, le chien ("Prince" devenu "Max" devenu "Le Copain" devenu "Wouf") sent le "méchant" et il va aider nos gentils humains à combattre le vilain.

 

Je caricature un peu, car c'est ce que j'ai un peu ressenti au cours de la lecture, même si Koontz distille quand même des passages où il nous rappelle que tout n'est pas tout noir ou tout blanc.

 

C'est finalement une version revisitée du combat du Bien contre le Mal.

 

Les autres personnages apparaissent peu et sont assez effacés par le reste, mais disons qu'ils "remplissent" l'intrigue et étoffent un peu le livre.

 

 

L'histoire

 

Vous l'aurez compris, l'histoire réside dans une course contre la montre, car le méchant a dit à nos héros qu'ils mourraient à l'aube. Ils ont donc la nuit pour s'en sortir.

 

J'aime assez les histoires où le livre se passe sur une courte durée, car ça permet d'avoir une impression de condensé qui pour moi "solidifie" l'oeuvre permet d'éviter, en principe, les passages décousus.

 

En résumé, une lecture courte et où je me suis laissé emporter, même si j'avais déjà deviné que certaines scènes arriveraient.

 

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